Réforme sur la ligne du savoir
Réforme sur la ligne du savoir
Hauteur des astres, étoiles suspendues, parfois lumineux. Je me rappelle le souvenir de leurs absences. Ciel gris le fakih est nuage gris, plein de pluie, plein de hadîths. Il prend position au milieu pour ne pas dégager le ciel. Il domine, il conteste le savoir. Il est la lune et le monde. C’est un monsieur de grande envergure. Il a étudié et il enseigne l’art d’interpréter le Coran. Férir la bonne intention des gamins de six ans est l’intention même de se réconcilier avec le divin. Et de se mettre à l’ordre des prophètes. L’astre est un esprit qui cherchait l’origine de la nature. L’espèce, le monde et le ciel en question. Il enchaînait les va-et-vient de Tamazgha vers l’Orient. Chaque civilisation lui témoigne sagesse. En bas il voyait le ciel, il nourrit l’ambition de l’atteindre. Il avait étudié la terre, il fantasmait sur la lune. Le fakih allume la terre avec ses hadîths. L’étoile brille dans le ciel, elle guide la terre vers le ciel -Études astrologiques -espace-temps ou encore l’antimatière. Il s’avère que la vie existe ailleurs. Sûrement, elle existe un seul livre suffit pour le confirmer celui de fakih ! Il aurait fallu plein de livres pour expliquer ce livre. Le fakih partait sans atteindre le ciel. Le savoir part en prenant place parmi les étoiles. Dans la vie d’ailleurs le fakih est dans un paradis anticipé. L’étoile brille pour une nouvelle génération. Un autre fakih pour cacher ces étoiles naîtra.
Nabil Abderahmane