Plainte Tribunal Fédéral Suisse contre Gaid Salah et Said Bouteflika pour torture sur le Président

Le président Abdelaziz Bouteflika est pris en otage par une mafia qui veut se servir de lui pour continuer de piller les biens du peuple Algérien. Intimement, le président est incapable de s’habiller, de se nourrir seul, de lever les mains en l’air, de faire se besoins normalement, de marcher et de parler à haute voix. Bref il est handicapé à 99%. Victime de 3 AVC graves, il a besoin de soins quotidiens, d’un médecin à ses cotés, d’un kinésithérapeute et de soutien psychologique pour terminer ses jours avec le moins de douleur. Le président doit consacré la moitié de la journée à ses soins, ses toilettes, à le faire manger et le reste lui est nécessaire pour dormir et se reposer. Les décideurs sont en train de le torturer, de porter atteinte à son honneur à sa dignité. Il commettent des sévices inhumains sur sa personne et une grave atteinte aux droits de l’homme qui relève du criminel. Au lieu de le mettre dans un centre spécialisé comme toutes les victimes d’AVC grave, ils décident de le porter contre son gré candidat à la présidence de la république algérienne sans qu’il ne fasse de discours à son peuple car il en est incapable. Le poste de président nécessitent des déplacements quotidiens, des réunions journalières, des coup de téléphone internationaux aux autres chefs de gouvernement et des décisions stratégiques qui mettent inéluctablement sa vie en danger sa vie tout en portant atteinte à son honneur et sa dignité d’être humain. Garant du bon fonctionnement de l’institution républicaine, le chef d’état major est dans la combine alors qu’il devrait intervenir pour mettre un terme à la fonction du président Abdelaziz BOUTEFLIKA au cas ou le conseil constitutionnel venait à contourner la loi. L’armée doit veiller à la sécurité des algériens dont le président de la république, au respect des institutions et si cela ne se fait il devient complice des tortures, sévices et atteinte criminelle aux droits de l’homme. Said BOUTEFLIKA est le président par intérim officieusement et il est le bourreau complice avec le chef d’état major de l’ANP.. L’enquête devra déterminer la responsabilités des chefs de régions militaires, du premier ministre et du secrétaire général du parti FLN, médecin de formation et qui s’est engagé à fond médiatiquement. Cordialement Docteur Rachid Mabed

 

 

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