Vaincre la guerre, mais quelle guerre ?
Vaincre la guerre, mais quelle guerre ?
Inter politique tout va bien pour la nation. La gestion avance, le taux de la démographie est en plein croissance malgré lui il est l’unique qui converge vers le haut. Chômage pour les jeunes, graduation pour les vieux, faut juste chercher un espace tranquille pour méditer la sociologie du peuple. Un héros peut-être ! Vecteur de l’Allemagne qui avance sur le plan économique et politique. Ouled Abbas démontre que chaque coin dans l’espace montre notre saleté. Autrefois, réussir le ciel commence par l’algèbre de la terre. Le peuple est sale, il contribue à sa saleté. Bédouin, il laisse derrière sa civilisation la toxicologie des siècles qu’il véhicule sous le sobriquet de خير أمة
Ce bédouin attaque les nations, et les valeurs sociales du monde. Il attaque les langues et l’universalité. Depuis hier, le rêve est permis, prometteur celui de faire barrage à la langue Tamazight dans sa nativité. La racine se fait attaquer par son fruit contaminé par l’engrais de la bacille virgule en 2018. Jusqu’ici faut faire le ménage, vider le grenier politique de la fameuse patrie. Le chemin vers la gloire doit être nouveau, j’aimais emprunté par nos politiques ; au moins nous validons un autre essai vers le succès. Nettoyer les rues, et les têtes pour exprimer le veto des épidémies de l’autre âge. Un nettoyage, un algèbre et de l’application ceci et le même chemin emprunté par l’Allemagne pour partir de zéro. Ceci est le point fort de la rébellion.
Nabil Abderrahmane