Détresse, les candidats du bac demandent justice.
Retour sur la session bac 2018, une épreuve qui semble succès. Des résultats jugés assez bon par la ministre de l’éducation nationale. Elle même a déclaré un taux de réussite élevé, gonflé, qui sème le doute ! Des résultats qui font le bonheur des uns et le malheur des autres.
Les candidats libres une majorité qui redouble l’effort pour surpasser les difficultés des études pour un but précis. Après un combat d’une année, il se Manifestent actuellement pour exprimer un mécontentement profond à propos de la correction de cette session.
Les candidats libres témoignant leur amertume, ils revendiquent l’égalité. Et d’après les avis de certains candidats la correction de cette session ne peut pas être une référence juste pour juger leur travail ainsi que leurs efforts. De faux résultats et la parole tourne auteur d’une injustice logique. Amateurisme, la sueur de leur labeur fait fumé sur l’horizon d’un avenir prometteur.
Est-il possible qu’un candidat qui a déjà eu son Bac avec mention retente le coup pour une nouvelle mention qui va lui permettre une entrée de formation en médecine se confronte à l’échec ?
Ceci dit le processus de correction dois se soumettre à une révision pédagogique. Une formation de stagiaires correcteurs pour accomplir cette tâche sensible est l’idéal. Notamment cela fera une marche en haut dans l’enseignement. Un plus qui va appuyer la possibilité d’intégrer le rang des nations développées.
Une deuxième correction doit être garante de justice, cela est pratique dans tous les autres pays : Maroc, France…etc. Pour permettre l’équitable de la justice des capacités des candidats. En Algérie le manque de cette ouverture laisse le système d’enseignement dans le bas de l’échelle.
» Les centres de correction cachent énormément de surprise ! Des enseignants hors domaine pour l’usage d’une correction loin d’être correcte. Anarchie et parfois des correcteurs avec une idéologie loin d’être pédagogique. L’autre probabilités est que les candidats sont victimes d’une politique planifié par le Ministère de L’enseignement Supérieur « . Cela reste la conclusion d’un sondage qui compte l’opinion publique. notamment celui des candidats et des enseignements.
La ministre de l’éducation doit donner l’oreille à ces candidats, il faut être professionnel et précis. Après tout un pays développé est un pays de justice. L’enseignement est une base et pas question de profaner les résultats des capacités de nos futurs cadres.
Texte: Nabil Abderrahmane
vidéo : Numidia TV